La société mère de Facebook, Meta, a été condamnée à une amende de 17 millions d'euros pour avoir enfreint les règles de confidentialité de l'UE. L'amende, infligée par la Commission irlandaise de protection des données (DPC), fait suite à une enquête sur une série de 12 notifications de violation de données reçues par l'organisme de surveillance entre juin et décembre 2018.
Dans un communiqué publié mardi, le DPC a déclaré qu'il avait constaté que Meta avait enfreint les règles de confidentialité de l'UE. De son côté, Meta ne semble pas très inquiet de la situation, malgré la série de sanctions à son encontre en Europe. Rappelons qu'à fin 2021, le groupe a provisionné 1 milliard d'euros réservés au paiement de ces amendes. Concernant la dernière en date, le groupe souligne qu'elle ne concerne que les pratiques de 2018.
Dans le cadre du RGPD, le régulateur irlandais mène des affaires transfrontalières de confidentialité des données pour les grandes entreprises technologiques dont le siège européen est à Dublin. Il a enquêté sur Meta pour un certain nombre de problèmes de données et de confidentialité et a infligé une amende de 225 millions d'euros au service de communication WhatsApp de l'entreprise, soit 267 millions de dollars à l'époque, en septembre, pour une autre violation du GDPR.
Dans un communiqué publié mardi, le DPC a déclaré qu'il avait constaté que Meta avait enfreint les règles de confidentialité de l'UE. De son côté, Meta ne semble pas très inquiet de la situation, malgré la série de sanctions à son encontre en Europe. Rappelons qu'à fin 2021, le groupe a provisionné 1 milliard d'euros réservés au paiement de ces amendes. Concernant la dernière en date, le groupe souligne qu'elle ne concerne que les pratiques de 2018.
Dans le cadre du RGPD, le régulateur irlandais mène des affaires transfrontalières de confidentialité des données pour les grandes entreprises technologiques dont le siège européen est à Dublin. Il a enquêté sur Meta pour un certain nombre de problèmes de données et de confidentialité et a infligé une amende de 225 millions d'euros au service de communication WhatsApp de l'entreprise, soit 267 millions de dollars à l'époque, en septembre, pour une autre violation du GDPR.