A l'occasion du palmarès 2014 de l'Excellence Française, dont la mission est de "faire savoir le savoir faire français de par le monde", mon employeur -partenaire de l'événement - m'a envoyé à la rencontre de certains des lauréats du prix spécial de l'innovation.
Ce prix, nouveauté de l'édition 2014, récompense des entreprises innovantes, dans un palmarès traditionnellement dévolu aux poids lourds des "old" industries.Il a vu le jour à l'initative de Anne Lauvergeon.
Peu de rapport avec la mobilité, es-tu en train de te dire, toi lecteur assidu de notre site. Pas faux. Mais pas tout à fait vrai non plus, puisque ces produits connectés utilisent tous le mobile comme camp de base, comme interface de visualisation des services à la personne proposés par l'objet. Un mobile à tout faire, enjeu qu'ont d'ailleurs bien compris Google et Apple, qui sont tous deux en train de proposer des adaptations de leurs OS pour les objets connectés ou des apis destinés à faciliter le transfert d'information entre l'objet et son interface téléphone (sont pas fous les bougres, ils y voient une manière de s'intégrer à un nouvel écosystème, de croquer au business model, et de fournir des leviers de croissance au déjà vieillissant business des apps).
J'ai abordé l'interview selon deux angles distincts, ce qui m'a permis de développer deux axes de discussion, qui sont devenus ensuite deux sujets distincts pour le site web de la chaîne de TV qui m'emploie:
Ce prix, nouveauté de l'édition 2014, récompense des entreprises innovantes, dans un palmarès traditionnellement dévolu aux poids lourds des "old" industries.Il a vu le jour à l'initative de Anne Lauvergeon.
En tant que membre de l’Excellence française depuis quatre ans et aujourd’hui Présidente de la Commission Innovation 2030, Anne Lauvergeon présentera 8 entreprises innovantes dans des secteurs d’activité différents lors de la cérémonie annuelle de l’Excellence Française. Par leur talent et leur imagination, ces entrepreneurs français innovent et construisent l’avenir de la France. Certains, peut-être tous, seront les champions économiques de demain.L'occasion pour moi de partir à la rencontre du très demandé Eric Carreel de l'entreprise Withings. Withings, il y a peu de chances que vous ayez échappé à leur campagne de pub, si vous habitez Paris. Le pionnier français s'est fendu, peu avant les fêtes de noël d'une campagne d'affichage au profit de ses produits "connectés", avec en tête de gondole le pèse-personne qui twitte la courbe de poids, incite à l'exercice et tient en compte la progression. Ailleurs dans le métro, on apercevait ces montres connectées si chic, qui indiquent si leur propriétaire a atteint ou non l' objectif d'exercices quotidiens.
Peu de rapport avec la mobilité, es-tu en train de te dire, toi lecteur assidu de notre site. Pas faux. Mais pas tout à fait vrai non plus, puisque ces produits connectés utilisent tous le mobile comme camp de base, comme interface de visualisation des services à la personne proposés par l'objet. Un mobile à tout faire, enjeu qu'ont d'ailleurs bien compris Google et Apple, qui sont tous deux en train de proposer des adaptations de leurs OS pour les objets connectés ou des apis destinés à faciliter le transfert d'information entre l'objet et son interface téléphone (sont pas fous les bougres, ils y voient une manière de s'intégrer à un nouvel écosystème, de croquer au business model, et de fournir des leviers de croissance au déjà vieillissant business des apps).
J'ai abordé l'interview selon deux angles distincts, ce qui m'a permis de développer deux axes de discussion, qui sont devenus ensuite deux sujets distincts pour le site web de la chaîne de TV qui m'emploie:
Quel sens y a-t-il à être distingué du prix de l'innovation de l'excellence française?
Dans un premier temps , j'ai cherché à savoir par quel parcours on arrive au monde des objets connectés, puis à être distingué du prix de l'excellence française? En corollaire, je me suis demandé quelle utilité ou quelle spécificité de l'entreprise, ce prix distingue-t-il?
Si d'aventure l'angle "excellence française", vous intéresse particulièrement, n'hésitez pas à suivre ce lien
Si d'aventure l'angle "excellence française", vous intéresse particulièrement, n'hésitez pas à suivre ce lien
Quelles sont les problématiques (mobiles) soulevées par les objets connectés?
Dans la seconde partie de mon interview... Je me suis fait un peu plus plaisir, via l'angle "techno" de la société.
J'ai creusé avec Eric Carreel les similitudes qui existent entre la vente d'objets connectés et la vente de "services" ou d'applications via le smartphone. Avec Eric Carreel, nous avons évoqué la mutation de l'industrie, depuis les manufactures d'objets destinés à un usage dédié (le réfrigérateur, le pèse personne...) vers un monde de produits manufacturés accompagnés de services rendus à l'utilisateur. Un monde nouveau où, si les premiers objets connectés autour de l'e santé et du bien être commencent à faire leur trou, il reste encore beaucoup de pédagogie "industrielle" pour expliquer aux constructeurs de machines-outils qu'ils doivent rentrer progressivement dans un univers de machines-services.
Tout à fait, en fait, comme les premiers smartphones ont enfin remporté l'adhésion des utilisateurs grand public dès l'instant où ils n'étaient plus uniquement vecteurs de technologie (l'internet, l'appel téléphonique) mais des facilitateurs de services dans la vie quotidienne. Merci l' iPhone.
Similitudes entre l'évolution des univers, et usage du smartphone comme écran de contrôle, il semble que les deux univers soient dès lors intimement liés. Raison de plus pour y aller faire un tour, en vidéo interview.
J'ai creusé avec Eric Carreel les similitudes qui existent entre la vente d'objets connectés et la vente de "services" ou d'applications via le smartphone. Avec Eric Carreel, nous avons évoqué la mutation de l'industrie, depuis les manufactures d'objets destinés à un usage dédié (le réfrigérateur, le pèse personne...) vers un monde de produits manufacturés accompagnés de services rendus à l'utilisateur. Un monde nouveau où, si les premiers objets connectés autour de l'e santé et du bien être commencent à faire leur trou, il reste encore beaucoup de pédagogie "industrielle" pour expliquer aux constructeurs de machines-outils qu'ils doivent rentrer progressivement dans un univers de machines-services.
Tout à fait, en fait, comme les premiers smartphones ont enfin remporté l'adhésion des utilisateurs grand public dès l'instant où ils n'étaient plus uniquement vecteurs de technologie (l'internet, l'appel téléphonique) mais des facilitateurs de services dans la vie quotidienne. Merci l' iPhone.
Similitudes entre l'évolution des univers, et usage du smartphone comme écran de contrôle, il semble que les deux univers soient dès lors intimement liés. Raison de plus pour y aller faire un tour, en vidéo interview.