Le Royaume-Uni a récemment approuvé une plainte contre Meta, la société mère de Facebook, l'accusant de ne pas rémunérer équitablement ses utilisateurs pour les données fournies. Cette décision survient dans un contexte où Meta fait face à de nombreuses poursuites judiciaires, principalement liées à des violations réglementaires telles que le RGPD, ayant déjà entraîné une amende de 1,2 milliard d'euros. L'entreprise a dû s'adapter, notamment en mettant fin aux publicités ciblées en Europe, bien que la méthode soit controversée.
La contestation juridique au Royaume-Uni met en lumière la collecte massive de données par Facebook, accusé d'exploiter sa position dominante pour monétiser les informations personnelles des utilisateurs sans une rétribution appropriée. Liza Lovdahl Gormsen, à l'origine de la plainte, estime que les utilisateurs n'ont pas été justement indemnisés pour la valeur de leurs données. Meta rejette ces allégations, soulignant la valeur économique fournie aux utilisateurs.
Meta insiste sur son engagement envers le contrôle des utilisateurs sur leurs informations, investissant massivement dans des outils à cet effet. Le juge Marcus Smith a indiqué que l'audience finale pourrait se tenir au plus tard au premier semestre de 2026. La plainte réclame jusqu'à 3,5 milliards d'euros de compensation, destinés aux 45 millions d'internautes représentés dans l'affaire, équivalent à environ 78 € par personne.
La contestation juridique au Royaume-Uni met en lumière la collecte massive de données par Facebook, accusé d'exploiter sa position dominante pour monétiser les informations personnelles des utilisateurs sans une rétribution appropriée. Liza Lovdahl Gormsen, à l'origine de la plainte, estime que les utilisateurs n'ont pas été justement indemnisés pour la valeur de leurs données. Meta rejette ces allégations, soulignant la valeur économique fournie aux utilisateurs.
Meta insiste sur son engagement envers le contrôle des utilisateurs sur leurs informations, investissant massivement dans des outils à cet effet. Le juge Marcus Smith a indiqué que l'audience finale pourrait se tenir au plus tard au premier semestre de 2026. La plainte réclame jusqu'à 3,5 milliards d'euros de compensation, destinés aux 45 millions d'internautes représentés dans l'affaire, équivalent à environ 78 € par personne.